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Infos du 27 août au 3 septembre 2017 - Bellême

dimanche 27 août 2017, par Jacques Roger

Nous portons dans notre prière les défunts de cette semaine : Fernand Liger, 87 ans, à La Perrière.

[|21e dimanche du Temps ordinaire - A|]Samedi 26 août 2017
18 h 30 messe à Appenai-sous-Bellême

Dimanche 27 août 2017
10 h 30 messe à Bellême, baptême d’Arthur Brunet
12 h à La Perrière, baptême de Louise Barrow

Lundi 28 août 2017
11 h 30 messe à l’oratoire du presbytère

Mardi 29 août 2017
11 h 30 messe à l’oratoire du presbytère

Mercredi 30 août 2017
14 h 30 à La Perrière, inhumation de M. Fernand Liger
17 h 15 messe à l’EHPAD La Rose des vents

Jeudi 31 août 2017
11 h 30 messe à l’oratoire du presbytère

Vendredi 1er septembre 2017
17 h 45 à la chapelle de l’hôpital, messe et adoration du Saint-Sacrement
20 h 30 rencontre des adultes qui se préparent au baptême

Samedi 2 septembre 2017
16 h 45 baptême d’Eliot Heurtevent

[|22e dimanche du Temps ordinaire - A|]Samedi 2 septembre 2017
18 h 30 messe à La Chapelle-Souëf

Dimanche 3 septembre 2017
10 h 30 messe à Bellême, baptême Camille Dubos
11 h messe à Igé

Nous portons dans notre prière : les familles Déhéllerin-Monnier, le père Pierre-Antoine Bozo, ordonné évêque de Limoges.

Se laisser rencontrer par Jésus, le Christ ressuscité

Dans La joie de l’Évangile’, le pape François écrit : « J’invite chaque chrétien à renouveler aujourd’hui même sa rencontre avec Jésus Christ ou, au moins, à prendre la décision de se laisser rencontrer par lui, de le chercher chaque jour sans cesse. »
Rencontrer en profondeur le Christ ressuscité, c’est bien aussi ce à quoi nous invite cette page d’Évangile où Jésus provoque les apôtres à dire quelle place il tient dans la vie de son peuple et dans leur propre vie.
Est-ce un homme du passé comme Jean Baptiste ou Élie, Jérémie ou un des grands saints de l’histoire ?
Ou est-il quelqu’un qui, aujourd’hui même, m’accompagne, me guide dans mes choix, m’oriente pour dire et faire le bien ?
Chacun de nous est invité à répondre à la question de Jésus : pour vous qui suis-je ?
Bien sûr, nous donnons cette réponse chaque dimanche lorsque nous prononçons la profession de foi de l’Église reçue des apôtres. Pourtant, si elle est nécessaire, cette réponse ne peut suffire. Il ne suffit pas, en effet, de répéter des mots appris par cœur, encore faut-il les prononcer avec amour.
La véritable réponse n’est pas théorique, elle est pratique. Notre réponse personnelle doit prendre corps dans des actes qui disent effectivement notre amour de Jésus en mettant en œuvre dans nos vies son message évangélique : message de service, d’attention à l’autre, de respect de l’autre…
Le pape François écrit encore dans La joie de l’Evangile : « Nous parvenons à être pleinement humains quand nous sommes plus qu’humains, quand nous permettons à Dieu de nous conduire au-delà de nous-mêmes pour que nous parvenions à notre être le plus vrai. »
Certes, le Seigneur n’attend pas de nous que nous soyons sans défauts. Il attend de nous que nous progressions dans notre rencontre avec lui, qu’il devienne véritablement notre compagnon de route et que cela transforme notre vie, notre manière d’être et de vivre.

Sur Pierre, le généreux pêcheur du lac de Tibériade, sur Pierre qui l’a renié, il fonde son Église et lui remets les clefs pour ouvrir les portes qui mènent à la vie et fermer celles qui mènent à la mort. Cette sainte Église des pécheurs que nous sommes, par le baptême, elle nous enfante à la vie de Dieu. Le savoir et en vivre ne nous apporte-t-il pas beaucoup de joie ?
Nous pouvons nous émerveiller comme saint Paul : « Quelle profondeur dans la richesse, la sagesse et la connaissance de Dieu ! Tout est de lui, et par lui, et pour lui. » L’apôtre écrira encore : « Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? »
Ne pouvons-nous pas relire notre vie à la lumière de ces paroles en reconnaissant que ce que nous avons et ce que nous sommes, nous le recevons de Dieu : « Ce n’est pas la chair et le sang [ce n’est pas ton humanité] qui t’ont révélé cela mais mon Père qui est aux cieux. »
Nous sommes invités à nous laisser rencontrer par Jésus qui, discrètement, frappe à la porte de notre cœur et nous demande s’il peut entrer.
Soyons-en certains, si nous le laissons entrer, il y aura dans notre cœur davantage de place encore pour les autres.
Jacques Roger