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Infos du 5 au 13 septembre 2020 - Le Theil-sur-Huisne

dimanche 13 septembre 2020, par Jean-Noël

Nous portons dans nos prières Bernadette Jourdain et la famille Landré-Malézieux.

Samedi 5 septembre 2020
18 h 00 messe à Ceton

Dimanche 6 septembre 2020
10 h 30 messe au Theil-sur-Huisne (huitaine de Bernadette Jourdain)

Lundi 7 septembre 2020
14 h 30 messe à Neyret

Mardi 8 septembre 2020
09 h 30 Équipe d’animation pastorale au Theil-sur-Huisne
14 h 00 bible à la salle du Foyer theillois, 4 place des Teilleuls
17 h 30 à Berd’huis répétition des chants pour la messe du 27 septembre

Mercredi 9 septembre 2020
10 h 00 messe au Theil-sur-Huisne
14 h 00 bible à la salle du Foyer theillois, 4 place des Teilleuls

Jeudi 10 septembre 2020
10 h 00 sépulture de Paulette Marchand à Ceton

Vendredi 11 septembre 2020
20 h 00 1re étape de la préparation au baptême

Samedi 12 septembre 2020
10 h 30 réunion pour les parents du catéchisme primaire à la salle du Foyer theillois, 4 place des Teilleuls
15 h 00 mariage de Marine et Romain au Theil-sur-Huisne
18 h 00 messe à L’Hermitière

Dimanche 13 septembre 2020
10 h 30 messe à Ceton

[|XXIIIe dimanche du Temps ordinaire|]Aujourd’hui, nous apprenons le pouvoir du pardon. Le Seigneur offre à chacun la possibilité de sortir du péché ; non seulement il nous rend capable d’en triompher dans notre vie personnelle, mais aussi dans celle des autres, grâce au pardon.

Lecture du livre d’Ezékiel (33, 7-9)

Le rôle du prophète est d’être continuellement en éveil, prêt à dénoncer le mal, non pas d’abord pour confondre le méchant mais pour le provoquer à se convertir. Si par lassitude ou découragement il se tait, il a comme pactisé avec le mal et en portera la responsabilité avec son auteur. Rude tâche qui ne laisse jamais en repos et promet bien des affrontements avec les fauteurs de mal ! Ezékiel en sut quelque chose.

Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (13, 8-10)

On a souvent opposé la justice à la charité, Paul, à la suite du Christ, montre que la charité ne supprime pas le devoir de justice, mais l’accompli.
Respecter son frère : « Tu ne tueras pas », respecter sa réputation : « Tu ne feras pas de faux témoignage », respecter son foyer : « Tu ne seras pas adultère », respecter ses biens : « Tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas (ce qui lui appartient) », tout cela se résume à l’aimer.
Mais si nous pouvons assez facilement nous dire quittes de nos devoirs de justice, selon la formule connue : « Je n’ai pas tué, ni volé », nous savons bien que nous restons toujours en dette en ce qui concerne l’amour fraternel. On n’a jamais vraiment pleinement accompli la loi.

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (18, 15-20)

L’Église s’est posée très tôt la question du baptisé qui pécherait gravement et publiquement. Pouvait-il demeurer dans la communauté sans causer de scandale ? Matthieu nous donne ici une première solution de ce cas, en rassemblant diverses paroles du Christ. On notera toutes les précautions prises pour respecter le pécheur : un seul frère cherchera d’abord de l’éclairer, puis il adjoindra un ou deux autres chrétiens dans sa démarche avant de porter l’affaire devant tout la communauté. Ce n’est que si le pécheur persiste dans sa faute que l’Église prendra acte de sa séparation d’avec elle. Jésus confirme que cette décision prise par l’Église d’écarter ou de réconcilier un pécheur sera ratifiée par Dieu lui-même. Mais l’Église garde un pouvoir d’intercession pour le pécheur par sa prière qui sera exaucée puisque Jésus, le Sauveur des pécheurs, est là au milieu des siens réunis en son nom.

Bon dimanche.
Père François