Infos du 20 au 28 mars 2021 - Le Theil-sur-Huisne

Nous portons dans nos prières Suzanne et Paul Brunet, Annie et Didier, Michel Pelissier et Mgr Apollinaire.

Samedi 20 mars 2021
10 h 00 réunion d’animateurs des chants
16 h 30 messe à Ceton

Dimanche 21 mars 2021
10 h 30 messe au Theil-sur-Huisne

Mardi 23 mars 2021
10 h 00 messe au Theil-sur-Huisne

Mercredi 24 mars 2021
10 h 00 messe au Theil-sur-Huisne
20 h 30 en direct de la webTV du diocèse, troisième (d’une série de 6) conférence de carême : L’Eucharistie est-elle catéchétique ? avec Nicole Fournier et Thierry Lepecq, du Service diocésain de la catéchèse

Jeudi 25 mars 2021
10 h 00 messe au Theil-sur-Huisne

Vendredi 26 mars 2021
10 h 00 messe au Theil-sur-Huisne

Samedi 27 mars 2021
16 h 30 messe des Rameaux à Ceton

Dimanche 28 mars 2021
10 h 30 messe des Rameaux au Theil-sur-Huisne

Mardi 30 mars 2021
14 h 30 à la cathédrale : messe chrismale ; merci de prendre l’inscription pour ceux qui préfèrent participer car les places sont limitées.
Pour les buis, que chacun amène son buis à bénir et la bénédiction se fera à l’intérieur de l’église.

[|Ve dimanche de Carême|]La mort de Jésus sur la croix tisse entre Dieu et les hommes une relation nouvelle, un amour sans limites. Mais la manifestation de cet amour a été pour Jésus l’acceptation de sa Passion et de sa mort.

Lecture du livre de Jérémie (31, 31-34)

Ce qu’il y a de nouveau dans l’Alliance que promet Jérémie, c’est un renouvellement de l’homme plutôt qu’un changement de clauses de l’Alliance. Renouvellement de l’homme qui sera parfaitement accordé, du fond de son cœur, aux appels de Dieu sur lui ; qui se voudra du peuple que Dieu conduit vers la délivrance non plus de l’esclavage d’Égypte mais celui de tout péché ; qui entrera dans la connaissance intime de Dieu faite d’une communion quotidienne à son amour et à sa volonté. « Voici venir des jours » : ces jours sont arrivés avec Jésus par qui s’opère ce renouvellement.

Lecture de la Lettre aux Hébreux (5, 7-9)

Les souffrances du Christ ne sont pas seulement un événement du passé que sa résurrection et sa vie auprès du Père lui auraient fait oublier, comme un mauvais souvenir. L’expérience qu’il a faite de la souffrance, des larmes, de la prière suppliante de l’homme aux prises avec l’angoisse et la peur de mourir, lui permet de comprendre nos faiblesses dans l’épreuve. Nul ne peut désormais se dire solitaire ou abandonné dans sa peine : Jésus est très près de lui le compagnon de sa douleur qui lui apporte secours et miséricorde ; il est aussi le Fils qui lui apprend la valeur rédemptrice d’une souffrance offerte pour sauver le monde.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (12, 20-33)

La seconde partie de cette lecture rappelle la nuit de l’agonie de Jésus à Gethsémani : tout bouleversé, il choisit non pas d’être délivré de « l’heure » de sa passion, mais d’accomplir le dessein de Dieu. Et paradoxalement, c’est quand Jésus aura été élevé de terre sur la croix qu’il attirera à lui tous les hommes. En ce sens la démarche des Grecs, c’est-à-dire des non-juifs convertis au judaïsme, est prophétique de la valeur universelle de la rédemption. Si dans le moment même où le grain de blé meurt en terre il s’assure une fécondité, c’est quand le Christ est élevé en croix qu’il est exalté et glorifié par le Père.

Bon carême.
Père François